Lâcher prise, c’est d’abord vouloir prendre de la distance avec nos peurs, nos souffrances. Ce qui nous fait du mal, en soi.
Lâcher prise, c’est aussi avoir conscience de ses limites et les accepter. Puis surtout, lâcher prise, c’est arrêter de vouloir tout contrôler : soi-même, les autres, le futur, tout. Quand on parle du lâcher-prise, on entend par là un état de mieux-être, plus enclin au calme et à la sérénité. En prenant du recul, on adopte un état d’esprit positif qui fait du bien au cœur et au corps, une attitude qui nous soulage.
Notre culture, notre société, notre éducation, font que tout au long de notre vie, nous nous construisons des idées ou des obligations, qui quelque part nous rassurent, mais restent parfois fictives, voire pesantes. Il faut donc réussir à discerner ces freins que nous nous imposons !
Bien sûr, s’il était si facile de lâcher prise, ça se saurait. Avant de pouvoir le faire, il faut faire un travail sur soi pour pouvoir guérir, se faire confiance et agir. Et prendre conscience de cela, c’est déjà actionner un levier de changement. C’est commencer le chemin vers notre véritable nature.