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L’alimentation émotionnelle, quand nos émotions influencent notre faim.

Stress, fatigue, colère, joie, tristesse, il arrive que nos émotions régissent notre faim. Réels besoins ou tromperie de notre cerveau ? Dans cet article, je vous explique les mécanismes à l’origine de l’alimentation émotionnelle. Découvrez également tous mes conseils pour apprendre à gérer vos émotions et les conséquences que cela entraîne sur votre alimentation !  

Des émotions jusqu’à notre assiette, quel est le lien ?

À la différence des animaux, nous sommes dotés d’émotions fortes qui influent sur nos interactions avec notre environnement et sur notre personnalité.

Ces émotions, positives comme négatives, influent notamment sur la balance hormonale qui régit l’ensemble des mécanismes de notre corps. Cependant, les émotions négatives ne sont pas à l’origine des mêmes réponses que les émotions positives.

L’alimentation émotionnelle, qui correspond à notre alimentation sous l’influence de nos émotions, ne semble pas présenter de règle absolue valable pour l’ensemble de la population. Les facteurs différenciants mis en évidence par de nombreuses études* dans ce domaine sont le sexe, l’âge, l’IMC et la relation à la nourriture.

L’influence des émotions négatives : 

Chez les femmes, les émotions négatives comme le stress, la colère et la tristesse ont tendance à augmenter l’appétit, mais pas que. Les études menées ont montré que les femmes avaient une plus forte tendance à consommer des aliments réconfortants par rapport aux hommes. Cela peut s’expliquer de plusieurs manières : 

  • l’autorisation :

    lors de ces épisodes d’émotions intenses, les femmes interrogées ont répondu manger des petits plaisirs coupables, car elles en avaient le droit au regard de l’état de leur moral. Entre nous mes bellies, qui ne s’est jamais dit qu’elle méritait bien de manger de la crème glacée après une journée difficile ? 

  • la gestion et l’extériorisation des émotions :

    le deuxième phénomène mis en avant est l’intensité des émotions qui diffère chez les femmes et les hommes. Il semblerait que les femmes soient plus propices à ressentir les émotions négatives. De plus, les femmes auraient plutôt tendance à intérioriser les émotions et trouveraient dans l’alimentation émotionnelle une forme d’apaisement interne

  • la distraction :

    c’est le troisième mécanisme de défense auquel les femmes sont le plus sujettes. Manger pour détourner son attention de la source des émotions négatives est une des raisons les plus fréquemment exprimées. Paradoxalement, sous l’influence des émotions négatives, nous avons tendance à manger de grandes quantités très rapidement, ce qui laisse souvent place à un sentiment de culpabilité.

l'alimentation émotionnelle

Et les hormones dans l’alimentation émotionnelle ?

Les hormones jouent un rôle important dans l’alimentation émotionnelle. Les personnes stressées, par exemple, vont libérer du cortisol après un état de stress important. En fonction de la sensibilité au cortisol, cela va augmenter drastiquement la sensation de faim et entraîner une consommation importante

Le deuxième cas fréquent, qui illustre l’importance des hormones, est la sécrétion de dopamine et le cercle de la récompense.

Pour en savoir plus sur le cercle de la récompense, rendez-vous dans cet article.

Manger des aliments sucrés, gras, avec une densité énergétique élevée, va augmenter la production de dopamine et donc nous amener vers une sensation de bonheur.

La joie et le bonheur jusque dans l’assiette

Car la vie n’est pas que stress, colère et tristesse, abordons maintenant les émotions positives dans nos comportements alimentaires. A la différence de ce que je viens d’évoquer plus haut, ce sont les hommes qui sont le plus propices à subir une augmentation de l’appétit.

Le mécanisme le plus évident mis en lumière dans les études est l’envie de prolonger le plaisir. En mangeant des aliments réconfortants, la sensation de bonheur est alors plus intense et plus durable

C’est cette poursuite du bien-être qui serait à l’origine de nos changements d’habitudes alimentaires dans les moments positifs.

l'alimentation émotionnelle

Mes conseils pour limiter l’alimentation émotionnelle

Comme toujours, l’objectif n’est ni de se priver ni de créer de la frustration qui ne ferait que renforcer, sur le long terme, ces comportements alimentaires parasites

Le premier pas vers une meilleure gestion est la connaissance des mécanismes qui régissent notre cerveau pour s’en défaire de façon consciente et progressive.

Le chemin qui mène à l’épanouissement demande de la patience et de la tolérance envers vous même. 

  • Limiter :

    la première chose que je vous conseille est de limiter votre exposition aux émotions négatives. Essayez de vous détacher de manière progressive de la charge mentale, la pression du travail, l’organisation de la vie de la maison et recentrez-vous sur vous-même. Vous savez faire mes bellies, je vous transmet chaque jour les clés pour être pleinement épanouie dans votre vie de femme. 

  • Substituer :

    vous êtes stressée et prête à vous jeter sur la première tablette de chocolat qui vous tombe sous la main ? Et si vous remplaciez cette petite fringale par une activité qui vous libérera réellement l’esprit. Les vidéos The Belly Lab sont un très bon exemple d’activité, mais vous pouvez également peindre, jardiner, bricoler et même cuisiner un repas sain et gourmand ! Le tout est de laisser s’exprimer librement les émotions pour pouvoir s’en défaire. 

  • Apprendre :

    il se peut que votre alimentation émotionnelle soit accompagnée d’une forme d’addiction. Dans ce cas, vous ne mangez plus pour le goût ou la texture, mais pour la sensation que cet aliment procure à votre cerveau. C’est notamment le cas pour les produits sucrés. Le sucre est une véritable drogue pour notre cerveau et le sevrage peut parfois être difficile. Il faut donc apprendre à se défaire de ce besoin de sucre dans la recherche de bien-être. Il est parfois judicieux de se faire accompagner de professionnels de santé pour ne pas subir les effets du manque

  • Anticiper : 

    vous savez que votre journée est chargée ? Prenez le temps de vous préparer des plats en amont. Pour vous aider, vous trouverez d’excellentes recettes dans mon programme TBL Alimentation. Vous pouvez même préparer quelques portions supplémentaires à congeler et à ressortir en cas d’imprévus. Ainsi, vous aurez accès en quelques minutes à un repas équilibré et rassasiant. Vous pourrez difficilement vous accorder l’autorisation de manger n’importe quoi alors qu’un bon repas vous tend les bras ! 

Pour rappel mes bellies, il arrive à tout le monde de craquer pour un paquet de chips. L’important est de prendre conscience de pourquoi nous avons craqué et de trouver des solutions durables. J’espère que cet article vous a aidé à y voir plus clair sur l’alimentation émotionnelle.

Nous nous retrouverons le mois prochain pour un nouvel article !