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Le slow working : Travailler mieux, vivre mieux

Dans un monde où tout s’accélère, où les agendas débordent et où la pression d’en faire toujours plus nous suit jusque dans nos rêves, il est temps de prendre du recul. Le slow working, c’est une invitation à ralentir pour mieux avancer. Ce n’est pas une question de faire moins, mais de faire mieux, avec plus de sens et moins de stress. En quoi cette approche peut-elle changer votre quotidien ? Voyons cela ensemble.

Qu’est-ce que le slow working ?

Le slow working, c’est réapprendre à travailler autrement. Loin d’être une excuse pour baisser le rythme sans raison, c’est une façon de se recentrer sur l’essentiel, d’arrêter de courir partout et de prendre le temps de bien faire. Cela passe par une meilleure gestion de son temps, une priorisation des tâches importantes et une réduction de ce qui ne compte pas vraiment.

Les grands principes du slow working :

  • Prioriser l’essentiel : Qu’est-ce qui fait vraiment la différence dans votre travail ? Concentrez-vous dessus.

     

  • Travailler à un rythme soutenable : Pas question de foncer à toute allure pour s’écrouler ensuite.

     

  • Valoriser la qualité plutôt que la quantité : Prendre le temps de bien faire au lieu de multiplier les tâches à moitié terminées.

     

  • Se donner des vraies pauses : Non, checker son téléphone n’est pas une pause. Se déconnecter, vraiment, si.


Pourquoi le slow working est-il si important aujourd’hui ?

On le sait tous : la vie professionnelle d’aujourd’hui peut être épuisante. Entre les deadlines à répétition, les emails incessants et le sentiment de ne jamais en faire assez, le risque de s’épuiser est bien réel.

Quelques raisons de passer au slow working :

  • Le burn-out est partout : L’OMS a déclaré le burnout comme un véritable phénomène mondial. Travailler autrement, c’est préserver sa santé.

     

  • Réinventer le sens du travail : Courir après tout sans savoir pourquoi, ça ne motive personne. Le slow working aide à se reconnecter à ce qui compte.

     

  • L’efficacité, mais durable : Aller à 200 % tout le temps n’est pas tenable. Trouver son rythme, si.

     

  • Se concentrer à nouveau : Nos journées sont pleines de distractions. Le slow working redonne de la place à la concentration.


Les bienfaits du slow working

Ralentir ne veut pas dire régresser. Bien au contraire, cela vous permet d’aller plus loin et de façon plus sereine. Les bienfaits sont nombreux :

  • Moins de stress, plus de santé : Votre corps et votre esprit vous diront merci.

     

  • Une productivité naturelle : Paradoxalement, ralentir vous permet de mieux travailler.

     

  • De la créativité retrouvée : Les meilleures idées naissent souvent quand on prend le temps de réfléchir.

     

  • Un épanouissement professionnel : Avoir l’impression de bien faire, ça change tout.

     

  • Un équilibre vie pro/perso réel : Moins de temps perdu sur des choses inutiles, c’est plus de temps pour vous et vos proches.

Comment se mettre au slow working ?

Adopter le slow working ne se fait pas d’un coup, mais petit à petit. Voici quelques pistes concrètes pour vous aider à intégrer cette philosophie dans votre quotidien :

Faites le tri dans vos priorités

  • Demandez-vous : quelles sont les tâches réellement importantes ?

     

  • Concentrez votre énergie sur ce qui a un vrai impact et éliminez ou déléguez le reste.

     

  • Une méthode efficace consiste à utiliser la matrice d’Eisenhower pour classer vos tâches en fonction de leur urgence et de leur importance. Cela vous permet de vous libérer du superflu.

Planifiez des pauses réelles

Les pauses ne sont pas une perte de temps, elles sont essentielles à votre efficacité.

  • Prévoyez des moments où vous pouvez réellement vous ressourcer : allez marcher, faites quelques exercices de respiration ou buvez une tasse de thé sans écran.

     

  • Pour être plus efficace, essayez de synchroniser vos pauses avec votre rythme naturel d’énergie, souvent appelé rythme ultradien (cycles de 90 minutes).

Coupez les distractions

Les interruptions permanentes, comme les notifications ou les emails, fragmentent votre concentration.

  • Créez des plages horaires spécifiques pour traiter vos messages et éteignez les alertes pendant vos périodes de travail concentré.

     

  • Si possible, utilisez des outils comme le mode ne pas déranger sur votre téléphone ou des applications qui bloquent temporairement les réseaux sociaux.

Prenez le temps de bien faire

  • Quand vous commencez une tâche, faites-le avec l’intention de la finaliser au mieux de vos capacités.

     

  • Plutôt que de jongler entre plusieurs projets, adoptez le monotasking : concentrez-vous sur une seule tâche à la fois. Cela vous permettra de gagner en qualité et en satisfaction personnelle.

Apprenez à dire non

Dire non n’est pas un signe de faiblesse, mais un acte de gestion intelligente de votre énergie.

  • Avant d’accepter une nouvelle tâche ou une réunion, évaluez si cela correspond vraiment à vos priorités. Si ce n’est pas le cas, déclinez poliment ou proposez une alternative.

Mettez en place des outils simples

  • Organisez votre journée avec des méthodes comme la technique Pomodoro, qui consiste à travailler par sessions de 25 minutes suivies de 5 minutes de pause.

     

  • Vous pouvez aussi essayer des outils numériques comme Trello ou Notion pour structurer vos projets et garder une vue d’ensemble sans vous disperser.

Créez un environnement propice

Un espace de travail organisé et agréable contribue à un esprit clair.

  • Débarrassez-vous des éléments inutiles sur votre bureau et privilégiez une lumière naturelle.

     

  • Pensez également à des petites touches qui vous apaisent, comme une plante, une bougie ou une playlist relaxante.

Faites attention à votre santé

Votre énergie physique influence directement votre efficacité au travail.

  • Dormez suffisamment, adoptez une alimentation équilibrée et intégrez une activité physique dans votre routine.

     

Ces pratiques ne sont pas accessoires, elles sont la base d’un slow working durable.

Réévaluez régulièrement vos progrès

  • Prenez le temps, chaque semaine ou chaque mois, de faire un point sur ce qui fonctionne ou non. Quelles habitudes vous aident à mieux travailler ? Quelles tâches ou engagements pourraient encore être allégés ? Le slow working est une démarche évolutive.

Et en entreprise ?

Les managers et dirigeants ont tout à gagner à encourager le slow working. Une équipe qui travaille à un rythme plus humain est souvent plus motivée et plus performante sur le long terme. Quelques idées :

  • Fixer des objectifs clairs et atteignables.

     

  • Encourager les pauses et dédramatiser la déconnexion.

     

  • Valoriser la qualité du travail plutôt que le volume.

     

  • Proposer des formations sur la gestion du stress ou la pleine conscience.

Les limites du slow working

Soyons honnêtes : tout le monde ne peut pas ralentir dans la même mesure. Certains secteurs ou moments de crise imposent un rythme soutenu. Mais même dans ces contextes, intégrer quelques principes du slow working, comme des pauses régulières ou une meilleure organisation, peut faire une grande différence.

Vous êtes convaincue par le slow working ? Il est temps de passer à l’action et de redonner un nouveau sens au travail et la place qu’il prend dans votre vie.